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La Palabra

versión impresa ISSN 0121-8530

La Palabra  no.25 Tunja jul./dic. 2014

 

Editoriale

Comme cela avait été mentionné par le poète Jorge Eliécer Ordoñez dans l'éditoriale de la revue numéro 20, notre revue a désormais trois étapes fondamentales; la première a déjà finie. Pendant trois ans et demi, on a été face à la revue La Palabra; en 2011, on l'a mise à jour afin d'avoir quatre exemplaires qu'en plus de la rééditer, celle-ci avait les éléments précis pour qu'elle puisse être considérée par Pubindex comme une revue indexée. A cette époque-là, il y a eu des paradoxes puisque la revue avait été laissée de côté et personne ne voulait publier. C'est ainsi qu'on a dû faire appel à des amis et camarades de travail pour pouvoir recueillir des articles et constituer les exemplaires. Depuis le début, on a compté sur le soutien du Master en Littérature et de son coordinateur Hernán Fonseca. Dans cette démarche, le soutien de Monsieur Gilberto Forero, le Doyen de la Faculté de Sciences de l'Éducation à cette époque, a été important.

Mis à jour en 2012, on a soumis la revue à une évaluation et on s'est présenté à une proposition d'indexation par Publindex, en obtenant le classement en catégorie C. Grâce à cette réussite, la revue a été diffusée et connue. De cette manière, les processus qu'on développe dans le domaine de la littérature, le Master en Littérature et l'École des langues de notre université ont été reconnus aussi.

En 2013, on a fait des changements dans tout ce qui concernait la conception graphique, ceci a eu un impact positif sur nos lecteurs, auteurs et membres du Comité. Au cours de la même année, on s'est présenté encore une fois pour l'indexation à Publindex en obtenant la catégorie B, mettant en évidence la croissance de nos publications et les améliorations des processus éditoriaux et académiques que celle-ci a fait. La revue a complété son insertion dans des bases de données internationales devenant ainsi un pôle important pour les études littéraires dans notre pays.

Comme cela a été déjà mentionné dans les dernières éditoriales, il existe une sorte de carrefour dans laquelle on voit que notre publication est soumise à la tension des évaluations formelles et, plusieurs fois, celle-ci a été mise au service du mercantilisme de la connaissance où le plus important, ce sont les statistiques et la forme et pas du tout la profondeur des contenus et les apports des différentes disciplines. D'une autre part, les résultats qui, pour nous, sont importants mais qui, malheureusement, n'accomplissent pas l'orthodoxie formelle des recherches vues comme des sciences positives.

Notre revue littéraire ne laisse pas de lutter contre de schèmes formels qui réduisent la créativité de nos recherches et la crudité avec laquelle on doit présenter les résultats. On dit encore une fois que si l'on est rentré dans cette logique, cela est peut-être parce qu'on veut que cette rencontre soit profitable pour tous et ainsi ouvrir des espaces pour que les auteurs puissent contribuer à l'étude de la littérature.

Hélas, la seule manière qu'une revue survive de nos jours se fait en ayant le soutien institutionnel et que celle-ci soit indexée. On dénoncera toujours les schèmes d'indexation de revues sans les éléments nécessaires, faux, réductifs et détournés.

À ce propos, on présente l'édition numéro 25 de la Palabra, composée par quatre sections qu'on a pu organiser selon les articles qui surpassent toutes les phases d'évaluation, celles-ci sont : Literatura colombiana, Literatura argentina, Literatura y análisis semiótica e Investigaciones Maestría en Literatura. A l'égard de l'évaluation des articles, il est important de mettre en avant que les évaluateurs qui ont accepté de réviser les articles ont évolué grâce à la diffusion de notre publication.

En tant qu'éditeur de la revue pendant quatre ans et demi, je dois avouer que je suis ravi de mon travail et de toutes les contributions que j'ai pu faire à cette publication. Celle-ci fait désormais partie de notre vie. J'aimerais remercier, d'une certaine manière, le soutien sans équivoque pendant une année et demie d'Andréa Maria Numpaque, notre assistante éditoriale car, grâce à elle, notre revue a amélioré son processus.

Enfin, et vu qu'à partir du mois d'août je pars faire mes études de doctorat, je donne la bienvenue à notre éditeur, le professeur Adrián Farid Freja de la Hoz, avec qui je suis certain que notre revue continuera à s'améliorer et à se diffuser.

Witton Becerra-Mayorga
Éditeur